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voyage au Sri Lanka

28 février 2011

Sri Lanka : rencontre

Sri-Lanka-les gens_08

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10 février 2011

ET APRES ?

A dans deux ans pour de nouvelles aventures.

31 janvier 2011

Tarifs et Hôtels

 

                        Les hôtels proposés

 

 Dambulla                Amaya Lake – chambre standard                                                           

 Kandy                   Amaya Hills – chambre standard

 Nuwara Eliya           Grand Hôtel (la vieille aile)                                                

 Ella                         Grand Ella Motel chambre standard  

 Yala                      Yala Village chambre standard

 Galle                       Lady Hill chambre standard                                       

 Negombo               Paradise Beach chambre standard

 Maldives                  Rihiveli Beach resort (chambre standard)     

 

                               TARIF 

 

Prix par personne : 2745. 00 Euros  (sous réserve de disponibilités aériennes et hôtelières)

          

               Ce prix comprend

 

v      Les vols Genève/Colombo// Male/Genève sur Qatar Airways

v      Les taxes aéroport au départ de Suisse

v      Le vol COLOMBO/MALE  sur Air Lanka et les taxes aéroport

v      L'accueil et assistance à l'aéroport à l'arrivée et au départ

v      Le circuit en micro van climatisé avec chauffeur/guide francophone

v      Les droits d'entrée sur les sites indiqués dans le programme

v      L'hébergement dans les hôtels en demi-pension du dîner du jour d’arrivée au petit déjeuner du dernier jour au SRI LANKA

v      Le safari en 4X4 pour visiter la réserve d’animaux de Yala

v      La balade à dos d’éléphants à Habarana  

v      3 nuitées en pension complète RIHIVELI Beach Resort

v      Le transfert en bateau rapide MALE/RIHIVELI/MALE

 

       Ce prix ne comprend pas

 

v      Les déjeuners

v      Les boissons pourboires et dépenses personnelles

v      Le permis de photos et vidéo au temple de la dent à Kandy et à l’orphelinat des éléphants à Pinnawela 

v      Les assurances : nous consulter

 

25 janvier 2011

JOUR 17 DUBAI / NICE

Mardi 25 janvier ……………….. Dubaï Nice, vol EK77 , départ 8h55 heure de Dubaï, arrivée 13h05 heure de Nice. C’est long…

Quatre heures de voiture plus tard, nous voilà chez nous. Bonjour les chats, Pepsi et Colas !

Il reste encore six kilomètres à parcourir à Jean Luc et Isabelle pour retrouver leur « chez-eux ».  

 

24 janvier 2011

JOUR 16 MALE/DUBAI

Lundi 24 janvier ;

On aurait pu vivre un nouveau samedi 22, car sur Filitheyo Island, comme dans les autres « Island » des Maldives, tous les jours sont des samedi 22 sauf… le premier et le dernier. Ceci étant dit, aujourd’hui est le dernier. Il est quatre heures trente du matin quand sonne le réveil. Curieusement, je n’ai pas dormi. Pas de raison valable, sauf peut-être que le fait d’avoir été six heures durant à l’horizontale dans l’eau chaude a conditionné mon organisme au point de lui faire croire que le temps de sommeil était suffisant. Nous prenons un dernier petit déjeuner, nous réglons la note de la veille, quatre cafés, et voilà nos bagages qui nous rejoignent. Le Dhony nous attend au ponton. Il est cinq heures trente. On se glisse entre les coraux, on affronte le courant et les vagues de la passe puis on arrive à proximité du ponton ou un hydravion est amarré. Nous avions vu les pilotes partir avant nous dans un autre bateau, mais c’est médusés que nous voyions l’engin décoller et s’en aller. Nous allons rester là, ballottés et sans réelles explications, avec une douce odeur de gas-oil et le ronron chaotique du moteur diesel, pendant plus d’une heure. Même dans le décor d’un atoll, c’est long, très long, trop long. Enfin, personne n’a été malade, c’est heureux, mais l’organisation sur les îles montre certaines lacunes étranges.

A quelque chose malheur est bon, car nous allons assister à un bel amerrissage et, à six heures quarante, nous embarquons à notre tour. Le vol sans problème nous ramène à l’aéroport de Malle et de là, nous embarquons à bord d’un long courrier de l’Emirats en direction de Dubaï, prochaine escale et mini-étape.

 

Lundi 24 janvier : encore ! Toujours, oui, mais pas tout à fait dans la même ambiance. Le vocabulaire change ici, très brusquement. Je propose : gigantisme, énorme, folie, luxe, moyen-âge, bêtise, étalage, richesses, défis, débilité, misère, exploitation, audace, exploits, démesure, sottise, mégalomanie, massacre, échec. Mais la liste n’est pas close car le temps va sans doute apporter quelques correctifs. Ah, si, je veux ajouter un mot important : illusion.

Pour le reste, les images parlent d’elles-mêmes.

 

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21 janvier 2011

Jours 13 ,14 et 15 FILITHEYO ISLAND

Vendredi 21 janvier, voir samedi 22


Samedi 22 janvier, troisième journée qui commence par un déménagement. Nous quittons donc nos water-room pour rejoindre une très jolie petite maison de deux appartements, avec terrasse et tout le confort, et surtout avec un espace de sable blanc sous des palmiers immenses. Juste après, à trois au quatre mètres, la mer vient lécher le sable.  Si nous avons perdu une situation d’isolement total, nous avons trouvé un lieu très confortable et idéalement situé à proximité des spots de plongée considérés comme les plus remarquables. La deuxième bonne chose c’est que nous sommes les voisins d’un couple adorable, Sophie et Christophe, des habitués du snorkeling qui ont eu la bonne idée de venir avec leur ordinateur et surtout, d’un appareil photo qui a appris à vivre sous l’eau. Christophe va nous faire cadeau de toutes les photos qu’il a faites de la faune et de la flore sous-marine. Un vrai bonheur.

   

Nous avions eu l’occasion, hier déjà, de venir rôder sur le corail de ce côté, sur cette plage qui sera notre balcon désormais. Nous avions attaqué après le petit déjeuner. Après avoir tenté de nager à contre courant et avoir constaté que le combat était inégal, nous avions décidé de remonter la plage pour nous laisser porter. J’avais choisi d’entrer par le spot 7, Isa et jean-Luc entre le 6 et le 7, Martine au niveau du 6. Ils ont eu raison. Je me suis retrouvé secoué et brassé dans les coraux. J’y ai laissé quelques bouts de peau et je crois que je ne pourrais pas porter de jupe pendant quelques temps. Passé cette prise de contact, le reste du temps ne sera qu’émerveillement et nous allons ainsi refaire le parcours plusieurs fois, tant le matin que l’après midi. 

Ca c’était hier. Aujourd’hui, on y retourne. Le matin, d’abord, et puis on passe à la salle du restaurant, histoire de reprendre des forces et, on fait la sieste.

16 heures. Non aux cadences infernales ! Le masque, le tuba, spot 2, 3 et 4, ouh là là. Une moyenne de six heures par jour dans l’eau à contempler sans se lasser un film en 3D, jamais le même, mais toujours aussi beau, coloré, captivant. De temps en temps une surprise, un poisson encore jamais vu, une copine tortue qui décide de passer un moment là, juste à côté, un requin qui fait une petite ronde, deux raies qui traversent dans le bleu sombre, et à chaque fois on s’appelle, on se fait signe les uns les autres, pour que tout le monde profite du show.


Dimanche 23 : lire la journée du samedi 22.

 

19 janvier 2011

JOUR 12 NEGOMBO/COLOMBO aéroport/MALE/FILITHEYO ISLAND

Jeudi 20 janvier, décollage vers Male.

 « Quatre heures du mat’… c’est pas des vacances ! »

Le temps de faire le tour de la chambre, de vérifier que l’on n’a rien oublié, et nous voilà dans le hall de l’hôtel « Paradise Beach ». Christopher nous attend et, à cette heure très matinale, le parcours vers l’aéroport s’effectue sans encombre.

Au revoir Christopher et merci pour cette présence et ce souci permanent de nous satisfaire tout en veillant à ce que rien de fâcheux ne nous arrive. Nous le savons, tu as deux courtes journées pour retrouver ta famille et, juste après, un nouveau groupe de Français sera à prendre en charge. Ils ne savent pas encore la chance qu’ils ont.

Changer la monnaie restante, en garder un peu pour boire un dernier café très … mauvais, quatre petites tortues en bois plus tard, négociées vingt roupies, Martine erre dans les boutiques et j’écris mes mémoires. Pendant ce temps, Isabelle et Jean-Luc ont acheté des noix de cajou. Les soixante-dix roupies restantes dans la caisse commune finissent dans une urne de collecte destinée à la recherche pour soigner les maladies mentales. On ne sait jamais !

 

……….. et puis on atterri dans une île-aéroport, située à côté d’une île-ville, au milieu d’îles-villa, au centre d’un chapelet d’îles-hôtel et d’îles-village dont l’ensemble constitue la république des Maldives, haut lieu de vacances pour les fous de snorkelling, mais aussi destination fétiche pour les jeunes mariés.

Le temps de changer de côté, on passe d’une piste en dur à un quai bord de mer d’où on assiste au balai incessant des hydravions qui emportent et rapportent des touristes vers des paradis plus ou moins lointains. Nous ne le savons pas encore, mais c’est vers un lieu de séjour plutôt magique que nous conduit cet oiseau rouge aux pattes flottantes qui peut contenir dix neuf personnes et leurs bagages ainsi que trois membres d’équipage. Un vent fort mais régulier nous permet d’apprécier l’habileté du pilote à l’amerrissage. Un ponton nous attend, auprès duquel vient s’amarrer un bateau qui va nous conduire dans notre île-résidence.

Ah, j’oubliais, à ma descente de l’avion, alors que Jean-Luc s’apprêtait à immortaliser cet instant extraordinaire, j’ai exécuter une spectaculaire figure free-style que d’aucuns auraient choisi d’appeler ratage de marche et cassage de gueule. En tout cas, après un temps de suspension inoubliable, je finis dans les bras d’une jeune mariée d’origine polonaise qui, je dois bien l’avouer, m’a évité une chute dans les bagages entassés là. Toute honte bue, le parcours nous permit d’apprécier des vagues sérieuses et de belles embardée dans un fort courant, avant que la main experte du pilote glisse l’embarcation entre les récifs de corail jusqu’à un petit ponton accroché à la rive. L’endroit est magique mais nous n’avons pas encore tout vu. Quand Jean-Luc, lors de sa préparation, avait eu l’idée de cet escale aux Maldives, les choix qui s’offraient à nous, qui restaient dans nos moyens, consistaient en des bungalows sur l’îlot, avec une formule pension complète (all bought comme il disent ici). Mais nous avions demandé à ce que nos habitations soient contiguës.  

A notre arrivée, le responsable nous explique qu’il n’a pas pu nous réserver des bungalows côte à côte mais, exceptionnellement, compte tenu des circonstances, il se propose de nous installer dans les bungalows sur pilotis en attendant. Et nous voilà dans ce qui se fait de mieux sur l’île, pour le même prix. Inch Allah !

Quand on dispose devant sa chambre d’une terrasse couverte et ouverte sur la mer, encombrée de deux fauteuils, d’une table basse et d’une balancelle, qu’en prolongement de cette terrasse s’avance une deuxième plateforme, au soleil celle là, où sont installées deux barquettes confortables, quand en plus, juste à l’angle, un escalier en bois descend dans de l’eau à vingt-huit degrés, transparente, qui passe par toutes les nuances de bleu et de vert et, qu’en plus, cette eau sert d’aquarium naturel à des milliers de poissons multiformes et multicolores, le tout dans un décor de corail, alors on pose tout, on prend son masque et son tuba, on se couvre le corps de crème et d’un maillot et on se laisse aller à la plénitude de l’instant, en se disant qu’on a bien de la chance d’être là.

Le soir, après s’être rincé, on revient, drapé dans un peignoir de bain, regarder le soleil se noyer dans l’orange et on se raconte ce qu’on a vu : une tortue, une murène, un bleu avec du vert, un orange avec du blanc, un gros aux yeux globuleux, un banc de tout-petits qui … et les mots manquent et on se refait le film dans sa tête, comme ça, pour le plaisir.

 

19 janvier 2011

JOUR 11 GALLE /COLOMBO/NEGOMBO

Mercredi 19 janvier.

L’hôtel où nous avons passé la nuit est installé à proximité d’une mosquée ce qui offre un énorme avantage : pas besoin de réveil matin. A cinq heures, le muesin nous raconte sa vie en chanson, dans un micro amplifié, quant à faire, et l’histoire se poursuit avec une bonne petite prière qui dure une bonne heure… le top du top.

 

18 janvier 2011

JOUR 10 YALA / GALLE

Mardi 18 janvier.

Nous allons de Yala à Galle.

Il est 8h 30 et le café du petit déjeuner n’est pas bon. Nous venons d’apprendre que demain est jour de pleine lune et que ce sera un jour sans alcool… Maudits, nous sommes maudits ! Deux jours sur quinze à ne pas pouvoir déguster une bonne petite bière, un petit cocktail, on aurait voulu le faire exprès, on n’aurait pas fait mieux.

En longeant le parc de Burundala un panneau de signalisation routière indique : danger, passage d’éléphants !

 

17 janvier 2011

JOUR 09 HAPUTALE- BUDURUWAGALA – YALA

Lundi 17 janvier.


Le départ à huit heures et demie nous donne le temps d’apprécier un petit déjeuner agréable. Ensuite, des cascades, des temples, de la nature, du calme, de belles lumières, un joli temps. Nous évoluons presque toujours seuls sur les sites. C’est le rêve. Nous arrivons à notre hôtel, l’Elephant Reach, dont le nom a lui seul donne le ton pour la suite de l’après midi. Et c’est à nouveau à bord d’un 4X4 que les choses vont se passer. Le départ a lieu à 15h30, le retour de nuit, à 18h30. Nous sommes vannés, vidés, nous avons mal au cou, à la tête, aux fesses, au dos, mais nous sommes contents, car le site est grandiose. De la jungle à portée de main et parfois, quand la chance sourit, un éléphant sur le capot, un varan ou un crocodile au bout de l’objectif, et partout des oiseaux, des buffles, des daims, des cerfs, des sangliers, des 4X4… Bon, d’accord, les autres 4X4 sont gênants, pas le nôtre… Si… le nôtre l’est aussi pour les autres ? Ah !


Il est dix heures du soir et, couché dans un bon lit, la frontale sur la tête, j’essaie de noter quelques impressions ressenties, avant de sombrer dans un sommeil qui, je l’espère, sera réparateur.

 

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